Un rendez-vous incontournable de l’art et de la nature, la 28ème édition du Festival International des Jardins de Chaumont-sur-Loire.

Une envie d’horizons nouveaux et d’une escapade au vert pour se ressourcer ?  Organisé depuis 1992, le Festival international des jardins de Chaumont-sur-Loire se tiendra du 24 avril au 4 novembre 2019. Un festival qui nous transporte avec poésie dans ses « Jardins de paradis », le thème de cette nouvelle édition.

Le festival accueille chaque année des paysagistes et concepteurs venus du monde entier, l’expérimentation, la création contemporaine de jardins sont au cœur de cet événement exceptionnel qui nous fait du bien, le paradis, le rêve de bonheur, autant de notions qui font voyager notre âme vers des horizons lointains où il fait bon vivre, où l’on jouit d’un bien-être retrouvé.

« Le paradis n’est-il pas le lieu où résident les âmes des justes et des anges ? Lieu d’innocence et de délices, auquel aspire l’humanité tout entière, n’est-il pas ce rêve de bonheur infini, qui guide les esprits, depuis des millénaires ? » évoque Chantal Colleu-Dumond, la directrice du Domaine de Chaumont-sur-Loire.

Pour notre plus grand plaisir, l’art contemporain est de nouveau à l’honneur dans le château et dans le parc, avec la présence d’œuvres et installations de douze nouveaux artistes. On y découvrira notamment les oeuvres du grand artiste chinois Gao Xingjian (Prix Nobel de littérature, avec pour titre Appel pour une nouvelle Renaissance), de l’artiste Ghanéen El Anatsui, ‘la serre du bonheur’, une installation de tournesols et pellicules des films de la réalisatrice Agnès Varda décédée cette année, les œuvres de Sheila Hicks ; dans les écuries du château on pourra admirer les œuvres de différents artistes comme Patrick Blanc, Klaus Pinter, Stéphane Guiran ;  dans le Parc du Domaine, Giuseppe Penone, etc…

La magie opère sur nous, la nature, les jardins et l‘art contemporain, quel beau mariage et voyage que je ne peux que vous recommander chaleureusement !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Klaus Pinter, en plein midi

 

 

 

 

 

Stéphane Guiran
Giuseppe Penone

 

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